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sylvie 62 : voila me fait encor chier petit bonjour en passent comme prevu tu ma encor fait rire bon courage dens ton trvail
cuicui-hardcore : salut salut confrère de l'audiovisuel. merci pour la bienvenue
Ebeth : J'ai pu parcourir quelques pages notamment celle contant les films, merci pour tes avis, ça m'a donné envie de voir certain..
sylvie 62 : bin j avai raison je me suit encore fait chier je suit toujour la seul sur le chat donc je me fait chier j ai re taper sa et du coup petit bonjour en passent
sylvie 62 : on c rater de pas beaucoup je croix tempie
J'ai passé ma journée à regarder la télé comme une larve et j'ai du, sans mentir, voir au moins trente fois les pubs LCL. J'ai leur slogan en tête. Au secours.
Demain, ça y'est, j'y suis, je me lance, je serai conseiller d'accueil en agence LCL. Au secours.
J'ai lu un peu en quoi consister le job... Je cite : Vous êtes en quelque sorte la « vitrine » de LCL. Voilà la vitrine quoi. Je me vois déjà en porte-jartelles et bas résille à scander « Welcome to LCL ». Au secours.
Je suis stressé. 12h36 avant le grand saut... Au secours.
EDIT :
Nannnnnn, si ça c'est pas de la putain de coïncidence !!!
Je ne passe pas ma vie sur Cowblog, une fois que j'ai fait ce que j'avais à faire je ferme le portail (en général). J'ai donc refait le module « Contactez moi » pour y ajouter deux choses.
Premièrement, j'ai mis un lien direct vers mon Facebook. Je ne mets pas de photos de moi ici pour ne pas vous faire fuir mais vous pouvez donc voir à quoi je ressemble via mon profil Facebook. Ne m'ajoutez pas comme ça, juste pour le fun. Je refuse systématiquement les personnes que je ne connais pas. Prévenez moi avant quand même.
Deuxièmement, j'ai trouvé un petit truc sympa pour discuter en live avec moi. Vous n'aurez pas mon adresse Windows Live mais ça ne vous empêchera pas de discuter avec moi. Regardez l'icône du statut avant de m'envoyer un message et ne paniquez pas si je réponds pas. Je ne suis probablement pas là !
En espérant que ça me permette de tisser de nouveaux liens avec les bloggueurs.
Allez, je m'en fous j'ai choisi de l'assumer pleinement !
Ceux qui me savent pourront vous dire que je suis une groupie de Superbus mais ceux qui me savent davantage vous diront que je suis aussi trés éclectique côté musique. Moins que côté cinéma déjà !
Je vais vous faire une confidence, je suis accro à quelqu'un d'autre... Ne me tapez pas ! M'euhhh !
Peut être la connaissez vous... Joyce Jonathan. J'ai découvert son album Sur mes gardes il y a... euh... [ ... ] un moment ! Depuis ça tourne en boucle. C'est tellement rare de trouver un petit bout de soi dans chaque chanson d'un album.
Allez, laissez vous prendre au jeu, ça ne dure qu'une quarantaine de minutes ! On va sur Deezer. Principalement les chansons 1, 2, 3, 6, 7, 9.
Avant d'entamer la deuxième partie, promettez moi de regarder la vidéo ci-dessous. C'est très important pour moi !
C'est bon, vous avez regardé ? D'accord alors comme promis, je vous raconte une petite histoire charmante. Elle s'appelle « L'Île des sentiments ».
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.
Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment.
Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide.
- Richesse, peux-tu m'emmener ? ; demanda l'Amour.
- Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi ici, répondit la Richesse. Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau.
- Orgueil, je t’en prie, emmène moi, dit l'Amour.
- Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau, lui répondit l'Orgueil.
Ensuite l’Amour demanda à la Tristesse qui passait par là :
- Tristesse, je t’en prie, emmène moi.
- Oh Amour, répondit la Tristesse, je suis si triste que j’ai besoin de rester seule.
Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.
Soudain une voix retentit.
- Viens, Amour, je t’emmène avec moi.
C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla. L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir.
- Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?
- C’est le Temps, répondit le Savoir.
- Le Temps ? demanda l’Amour. Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ?
- Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie, répondit le Savoir avec beaucoup de sagesse.
Maintenant que l'histoire est contée, poursuivons. L'anorexie sexuelle est donc l'art de paraître coincé plutôt que de dire sans honte ce que l'on recherche exactement. A ce stade, je suis un peu déçu de me reconnaître là dedans. Je suis le premier à refuser un rendez-vous parce qu'il me faut du temps. Et une fois que le rendez-vous est passé (en admettant qu'il ait eu lieu), il me faut du temps pour y penser. Et ensuite, il me faut à nouveau du temps pour l'apprécier, du temps pour vouloir remettre ça, du temps pour tout ça, et patatiiii et patataaa et enfin du temps, pour me faire sèchement larguer sous prétexte que je suis trop sentimental, trop fragile ou trop moi quoi.
Suis-je obligé de préciser qu'il me faut du temps pour m'en remettre ? Noooon :)
Donc, ok, voila, bon, bien. Je suis anorexique sexuel. Oui, et ?
Le temps est une valeur et sûrement la plus précieuse à mes yeux. Si la vie vaut seulement la peine d'être vécue si elle l'est à la vitesse grand V, je préfère prendre mon temps et en perdre la moitié.
Je suis convaincu que je ne suis pas seul à penser comme ça et que beaucoup d'autres manquent cruellement de confiance en eux et n'ont aucune estime de ce qu'ils sont. De là à nous stigmatiser en parlant d'anorexie sexuelle, je trouve ça énorme.
Toutefois, ça me permet de faire une chose qui va m'apporter une grande jouissance. Plus encore qu'à le dire, je peux l'écrire :
JE SUIS TRES CONTENT D'ÊTRE MALADE
Et quitte à en finir ma vie avec pour seule compagnie ma main droite, je préfère amplement jouir d'une autosexualité (à moitié) satisfaisante que d'une relation sentimentale et sexuelle frustrante. Rien que le désir de vouloir être aimé me suffit et ça, rien n'y personne ne pourra y changer. Je clôturerai ces deux articles avec une jolie citation qui vient de me traverser l'esprit : range ta queue et, si tu m'aimes, prouve le. C'est nul, mais j'en ris encore.
A en croire le post-it que j'ai collé comme titre à cet article, vous vous imaginez lire une page du journal intime de Narcisse ? Bah c'est raté.
Je commence par les bases, ça permettra à chacun(e) de bien cerner la suite. Célibataire, homosexuel, 23 ans. Je pourrai ajouter bien d'autres termes mais je laisse ça pour le développement. J'ai pas envie de vous faire fuir après seulement deux lignes.
J'ai découvert, il y a quelques jours, deux mots qui une fois assemblés forment une expression assez délirante : anorexie sexuelle. Mais qu'est-ce-que donc que qu'est-ce...
Pour le savoir, pas de dictionnaire ou de revue médicale, juste un peu de documentation pêchée par ci, par là, sur la toile. Et c'est qu'on en trouve des merveilles sur le sujet.
Un médecin expert en dépendances a déclaré que les troubles de l'intimité amenaient les gens qui en souffrent à repousser le contact physique et qu'ils devaient être traité rigoureusement, ou du moins avaient besoin de l'être. Sincèrement, j'ai rien compris. J'ai donc fouillé ailleurs et essayé de décomposer ça en plusieurs morceaux.
I) Les troubles de l'intimité
Pour en avoir fait l'expérience, les troubles de l'intimité ne figure pas au menu de moteurs de recherche. Vous en avez sur tout : les troubles de l'érection, de l'éjaculation, de l'orgasme, du désir sexuel et de l'identité sexuelle. Mais allez chercher un document sur les troubles de l'intimité, que neni !
Il faut donc encore sortir les cisailles et découper ce fragment. Je m'en vais donc découvrir ce qu'est l'intimité et je tombe sur un article légèrement rigolo puisque l'intimité en psychologie se résume à douze étapes. [ Vous les voulez ? Et bien cherchez ! ] Je me suis attardé sur une phrase beaucoup plus intéressante : « Une capacité insuffisante à développer l'intimité peut mener à un rapprochement trop rapide, à des difficultés à trouver la frontière entre soi et l'autre en soutenant la liaison, ou à être malhabile comme ami ».
A mon sens, il est inutile de cherche plus, à partir du moment où l'intimité n'est pas capable de se développer, l'un des facteurs est forcément face à un trouble de l'intimité. Ca coule de source en fait...
II ) Le contact physique
Les recherches là dessus m'ont bien saoulées, autant que vous le sachiez. J'ai lu au moins vingt messages sur des forums divers où les auteurs faisaient la crasseuse comparaison entre contact physique et rapport sexuel. Tenir la main de quelqu'un d'autre avec douceur n'est-il pas un contact physique ? Je pense bien que oui... Le gifler aussi d'ailleurs. Mes idées ne sont pas très claires sur le sens de l'expression « contact physique » mais je m'en suis arrêté là (et on s'en contentera).
III ) Être traité rigoureusement (?)
Alors là, sur le cul ! Il n'y avait pas un terme encore plus vague que « rigoureusement » ? On parle de quelle rigueur ? La stricte ou la minutieuse ?
Va donc chier, le seul truc de rigoureux chez moi c'est l'hiver.
Je vais être toutefois fairplay et prendre le terme au meilleur de sa définition. Mettons le dans le même panier que la rigidité et la raideur sans aller jusqu'à l'aspect géométrique de la chose, faut pas pousser le bouchon trop loin non plus [ J'ai hésité avec Mémé dans les orties mais bon... ].
En première conclusion, traduisons ensemble la réflexion de l'expert en je ne sais plus quoi. Ce qu'il voulait dire c'est qu'à partir du moment où l'on ne sait pas développer une intimité avec quelqu'un, on refuse d'avoir des rapports sexuels car rien d'autre ne peut nous pénétrer à part un foutu balai qui s'avère bien planté dans le colon !
On se retrouve dans la deuxième partie d'ici quelques minutes.
